Sous les bois (2ème partie)
Mes doigts attrapent les bretelles
Les font glisser sur les bras nus
Laissant apparaître les dessous de dentelle
Qui enrobent ses seins menus
Sa robe tombe sur ses hanches
M'offrant ce merveilleux corps d'albâtre
Ma tête doucement je penche
Pour mener mes lèvres dans son cou s'ébattre
Le long des jambes la robe elle fait descendre
Dévoilant ses cuisses fuselées
Dans l'herbe je la fait s'étendre
Ote sa robe pour toute la dévoiler
D'une main coquine je libère ses seins
Qu'aussitôt j'honore de mes lèvres
Un soubresaut soulève ses reins
Faisant naître en moi une indicible fièvre
J'ôte la dentelle qui cache sa forêt
Glissant le long des jambes en les caressant
J'approche du bas-ventre comme les blés, doré
Et sur sa fleur ma langue descend
Je goûte lentement son doux parfum
Glissant du bas jusqu'en haut
Savourant ce nectar si fin
Que naissent des frissons dans mon dos
Ses pétales s'ouvrent quand je les titille
Rosissent tout en dévoilant son antre
Je joue sur son bouton comme d'une bille
D'une main caresse son ventre
Je remonte mes lèvres vers son cou
Déposant ici et là moult baisers
Mes mains caressent son corps si doux
Nos appétits s'en trouvent aiguisés
Mes lèvres près de ses lèvres l'embrassent
Je sens m'envahir une douce chaleur
Quand de ses bras elle m'enlace
Et que je pénètre sa fleur
Je la sens qui me serre doucement
Nos langues se taquinent
Je bouge en elle lentement
L'oreille elle me mordille, coquine
Un doigt je glisse entre ses fesses
J'attrape un téton entre ses dents
De ses doigts les reins elle me caresse
Pendant que je la mordille tendrement
Elle va et vient autour de moi
Faisant naître myriades de couleurs
Ses tétons gonflent sous mes doigts
Et je me repais de leur saveur
Nous offrons l'un à l'autre nos corps
Nous perdant dans nos bras serrés
Sentant venir à nous la petite mort
Qui doucement vient nous emporter
La forêt autour de nous disparaît
Il n'y a que la chaleur qui nous envahit
Quand en nous le soleil apparaît
Nous laissant presque évanouis
le 08/04/2007 © JFP